J'ai rencontré un soir après la piscine le président (actuel ?) de la paroisse vieille-catholique de Paris. Celui qui m'a fait des noises. Je l'ai rencontré dans le métro. Nous avons fait le chemin de Champs Elysées - Clemenceau à Saint-Lazare soit 2 stations de la ligne 13 du métro (la ligne qui rapproches les gens !). Il n'y avait pas d'animosité ni de l'un ni de l'autre. Il faut dire que ma vocation de chrétien passe par le pardon 77 fois 7 fois. C'est assez impressionnant. J'ai vécu le chemin d'Emmaüs dans le métro. Non pas que j'ai rencontré le Christ dans le président paroissial mais j'ai rencontré le Pardon du Christ dans cette relation rapide et non-conflictuelle. Ce qui n'avait finalement jamais existé lorsque nous étions partenaires pour la paroisse.
Il m'a dit que les locaux paroissiaux qui sont la propriété de l'archevêché d'Utrecht ont été vendu. Il y a encore des paroissiens mais plus d'église paroissiale. Les locaux étaient d'une part la paroisse et d'une autre part le siège de la Mission Vieille-Catholique pour la France. Elle n'a plus d'adresse réelle. La Fraternité Saint-Vincent de Lérins qui est la communauté paroissiale virtuelle francophone de l'Eglise Vieille-Catholique ne m'en a rien dit. Le site de la paroisse vieille-catholique alsacienne n'en dit rien non plus. Toujours est'il qu'il y a quelques semaines je suis allé à Pigalle voir un ami et j'en ai profité pour aller voir au 15 rue de Douai. Il n'y plus de plaque. Quasiment rien ne laisse apparaître de la rue que la paroisse est encore là.
De mon côté cela fait maintenant des années que j'évolue dans ma foi sans église-bâtiment. Et je ne peux pas dire que je m'en porte mal, bien au contraire. Mais ça fait rêver de voir qu'à Hanovre en Allemagne la communauté paroissiale est en train de construire son église car l'ancienne est trop petite. Peut-être qu'un jour les Vieux-Catholiques français auront une foi à faire déplacer les montagnes et qu'à l'instar de nos frères ultra-rhénans nous construirons nous aussi notre église.
Il m'a dit que les locaux paroissiaux qui sont la propriété de l'archevêché d'Utrecht ont été vendu. Il y a encore des paroissiens mais plus d'église paroissiale. Les locaux étaient d'une part la paroisse et d'une autre part le siège de la Mission Vieille-Catholique pour la France. Elle n'a plus d'adresse réelle. La Fraternité Saint-Vincent de Lérins qui est la communauté paroissiale virtuelle francophone de l'Eglise Vieille-Catholique ne m'en a rien dit. Le site de la paroisse vieille-catholique alsacienne n'en dit rien non plus. Toujours est'il qu'il y a quelques semaines je suis allé à Pigalle voir un ami et j'en ai profité pour aller voir au 15 rue de Douai. Il n'y plus de plaque. Quasiment rien ne laisse apparaître de la rue que la paroisse est encore là.
De mon côté cela fait maintenant des années que j'évolue dans ma foi sans église-bâtiment. Et je ne peux pas dire que je m'en porte mal, bien au contraire. Mais ça fait rêver de voir qu'à Hanovre en Allemagne la communauté paroissiale est en train de construire son église car l'ancienne est trop petite. Peut-être qu'un jour les Vieux-Catholiques français auront une foi à faire déplacer les montagnes et qu'à l'instar de nos frères ultra-rhénans nous construirons nous aussi notre église.